L’importance de la donnée dans le monde de la gestion locative

L’importance de la donnée dans le monde de la gestion locative

Découvrez l’importance de la donnée dans le monde de la gestion locative. Que « ce qui se mesure s’améliore » soit vraiment ou pas réellement du pape de l’optimisation à savoir le théoricien du 20ème Peter Drucker, on ne peut que lui attribuer un certain bon sens. L’objectif d’un bailleur est d’optimiser le loyer de son bien, que l’on pourrait synthétiser en trouver le taux maximal d’occupation (T) pour un loyer optimisé (L) tout en diminuant ses coûts (C) de gestion (de la gestion administrative à l’entretien du lieu). 

L’équation ci-dessus est donc résultante de ces 3 facteurs :

  1. La maximisation des revenus, soient (T) et (L) : cela implique la récolte combinée de deux types de données :

- Pour optimiser (T), la donnée client : pour adapter de nouveau Peter Drucker qui indiquait que le but du marketing est de connaitre et de comprendre le client de façon telle que le produit ou service s'adapte et se vende par lui-même, l’objectif et de connaître si bien son client grâce à cette donnée pour adapter son offre que ce dernier ne verra aucun intérêt à changer de location. Bien entendu, optimiser (T) implique aussi que le locataire soit solvable et qu’il n’y ait pas eu de fraude dans son dossier masquant son insolvabilité

- Pour optimiser (L), la donnée de marché : la connaissance poussée et à jour du marché et des opportunités d’arbitrage pour le locataire ne voit pas immédiatement un meilleur « deal » pour lui 

  1. La minimisation de (C) : évidemment l’objectif est ici une minimisation tout en gardant une bonne qualité de service. Implique un double travail sur la donnée :

- Optimiser le coût de récolte de ces différentes données, notamment la constitution du dossier locataire

- Récolter des données permettant l’anticipation des sujets de maintenance, ainsi en limiter les coûts à moyen terme

Les solutions concrètes d’optimisation de la récolte de ces données

importance de la donnée dans le monde de la gestion locative

  1. Simplifier tout en améliorant la constitution du dossier locataire : des technologies existent pour automatiser la constitution du dossier locataire, permettant à ce dernier de partager moins tout en partageant mieux.

Confronté à de la donnée de qualité sur le profil de ses potentiels locataires tout en s’étant épargné sa consolidation fastidieuse, le bailleur peut prendre la meilleure décision de sélection d’un locateur solvable et dont le profil correspond au bien. Selon une enquête de Lagenceblue.fr, « 67 % des locataires falsifient leur dossier de location pour se loger » : se soustraire à cette réalité permet au locataire de biens meilleures cartes en main pour décider de la bonne personne pour occuper son bien.

La technologie de MiTrust, intermédiaire de confiance pour le partage de données personnelles, permet ainsi aux futurs locataires de partager de la donnée personnelle directement en ligne sans possibilité d’altérer cette donnée, la rendant à la fois plus facilement partageable mais aussi plus probante. Intégrée à des logiciels de gestion locative, elle est un outil clair et concret d’optimisation de la récolte de donnée

Au-delà de la constitution du dossier locataire, l’ensemble du cycle de gestion de la location peut aussi être automatisé et fiabilisé par des solutions technologiques. L’état des lieux d’entrée ou de sortie par exemple, ou le stockage des différentes pièces associées à la gestion d’un bien, sont des situations souvent fastidieuses pour l’ensemble des parties prenantes. Cela implique de se doter de logiciels adaptés tels qu’Ublo qui vont couvrir l’ensemble du cycle de la gestion locative.

  1. Automatiser la remontée de donnée qualitative de la part du locataire : parfois la donnée doit paradoxalement être déclarative de la part des locataires pour être fiables. La perception de son occupation ou des possibilités d’évolution de sa location (parties communes, relations de voisinage, etc.) sont des éléments suggestifs qui peuvent être automatisés (rappels, questionnaires en ligne, enquêtes locataires…) mais uniquement jusqu’à un certain niveau. 

De nouveau des logiciels tels qu’UBLO permettent à un bailleur de garder la bonne approche et le bon rythme de remontée du sentiment de son ou ses locataires et d’anticiper toute insatisfaction avant que celle-ci ne soit déjà trop importante pour justifier un départ de ce ou ces derniers

L’approche par la donnée de la gestion locative permet un gain de temps global et un recentrage sur les tâches à vraie valeur ajoutée pour le bailleur

La technologie ne fait pas tout. Elle n’est pas là pour se substituer au caractère profondément humain qui doit qualifier la relation bailleur / locataire.

En revanche, elle est justement là pour dépolluer cette relation de son aspect uniquement administratif. Ce dernier est inévitable, mais il est aussi automatisable. Mieux connaître son locataire via la technologie pour mieux s’adapter humainement, voilà l’objectif ultime pour maximiser cette relation. Un KYC fiable, une sérénité administrative sur les sujets réglementaires et une remontée fréquente et régulière du sentiment du locataire sont 3 situations que la technologie peut aisément optimiser pour permettre à la relation humaine de s’épanouir dans la durée.

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